Lettre d'Amour : LISA
LISA, toi qu'on me sort en forme d'argument imparable pour glorifier la soi-disant beauté d'une chanteuse ou une autre à la laideur vulgaire et vaguement commune, "Miliyah Kato n'est pas laide, regarde LISA". Serait-ce à dire que les crottes de chien sont belles parce que la bouse de vache existe ?
LISA, toi qui es à l'image des deésses nourricières des civilisations matriarcales antiques, sois mon miracle de babylone, vois ma Tour de Babel, sois ma tour de pas-belle.
Oh LISA, ma douce, allons à Miami faire ami-ami, pratiquons l'amour vache, meuglons ensemble de bonheur, parce qu'il se fait tard. Ma chair et tendre pas si chère à étendre, n'écoutent pas ceux qui t'embêtent Elizabeth, advienne que pourra Sakura.
Nourrisons-nous de topinambours 100% pur porc, sois ma saucisse de Bogota mon beau gros tas. Et si certains ricanent, tant pis, tabouret et seau, c'est parti pour la traie. Mets à ma disposition ta croupe généreuse et ta gêne heureuse, je serai ton VERBAL pour m'occuper de ton taku.
LISA, ma déesse japonaise du RnB, et non pas déesse du RnB japonais, ton opulente poitrine me plonge dans une torpeur médusée. Dieu et toi seuls savez ce qui se cache derrière ce bustier défiant les lois de la physique. Mes mains sur ton hémisphère, je m'enfuis vers tes tropiques, cherchant ta lune et ses cratères, fusée lunaire appelle la Terre.
Je t'aime.