Dictionnaire de la Jpop (2) : Spécial Ayumi Hamasaki
A peine une semaine d'existence pour ce blog, et je commence déjà à prendre du retard dans les rubriques. Je vous prie de m'excuser, mais j'ai eu un début de semaine chargé, ce qui explique cet article scandaleux tant il est mauvais. Avec un jour de retard, voici donc le tant attendu Dictionnaire de la Jpop, avec une nouvelle fois le souci de coller à l'actualité. Voici donc l'explication de quelques termes liés à Ayumi Hamasaki !
Ayumi Hamasaki (syn : Ayu) : 1- A la fois plus grande arnaque et plus grande star de l'histoire de la jpop. Ayu n'a aucun talent, aucune compétence musicale, et même aucune envie d'être chanteuse. Ayu a par contre une personnalité charismatique et une maison de disques derrière elle, ce qui change tout. A une très forte tendance à surestimer sa puissance vocale (d'où les yeah yeah) et sa technique (d'où l'ersatz odieux de vibrato vaguement inspiré de l'enka qu'elle inflige à ses auditeurs, mais si vous voulez entendre un vrai vibrato, écoutez plutôt Kawa no Nagare no You ni de Hibari Misora), ainsi qu'à s'habiller comme un travesti. La nature l'a rendue mignonne, la chirurgie l'a rendue belle, le show-biz, photoshop, le maquillage et l'âge l'ont rendue odieuse. Une des rares chanteuses à chanter de moins en moins bien de manière volontaire. 2- Se dit d'une femme usée avant l'âge. Ex : Depuis qu'elle a perdu ses enfants dans un accident de sani-broyeur, cette jeune femme est complètement ayu.
CREA : 1- Messie pour les fans, qui réclament CREA à cors et à cris alors qu'ils aiment déjà inconditionnellement tout ce que sort Ayu. 2- Immense pantalonnade décrivant une méthode de travail qui eut lieu dans les bureaux d'avex entre 2000 et 2003 : Ayu faisait des "tututu lalala" que dix techniciens étaient chargés de retranscrire en termes musicaux, et elle était créditée à la composition d'une chanson.
Dixième anniversaire : Premier grand non-évènement de l'année au Japon. A vrai dire, tout le monde s'en fiche.
H/L : Personnification de la ringardise musicale absolue.
Surdité de l'oreille gauche : Affection physique sur laquelle le besoin de communiquer est impérieux à la sortie d'un album, mais dont le caractère tragique a tendance à se résorber de lui-même après quelques temps, sans doute comme l'affection en elle-même.
Ayumi Hamasaki (syn : Ayu) : 1- A la fois plus grande arnaque et plus grande star de l'histoire de la jpop. Ayu n'a aucun talent, aucune compétence musicale, et même aucune envie d'être chanteuse. Ayu a par contre une personnalité charismatique et une maison de disques derrière elle, ce qui change tout. A une très forte tendance à surestimer sa puissance vocale (d'où les yeah yeah) et sa technique (d'où l'ersatz odieux de vibrato vaguement inspiré de l'enka qu'elle inflige à ses auditeurs, mais si vous voulez entendre un vrai vibrato, écoutez plutôt Kawa no Nagare no You ni de Hibari Misora), ainsi qu'à s'habiller comme un travesti. La nature l'a rendue mignonne, la chirurgie l'a rendue belle, le show-biz, photoshop, le maquillage et l'âge l'ont rendue odieuse. Une des rares chanteuses à chanter de moins en moins bien de manière volontaire. 2- Se dit d'une femme usée avant l'âge. Ex : Depuis qu'elle a perdu ses enfants dans un accident de sani-broyeur, cette jeune femme est complètement ayu.
CREA : 1- Messie pour les fans, qui réclament CREA à cors et à cris alors qu'ils aiment déjà inconditionnellement tout ce que sort Ayu. 2- Immense pantalonnade décrivant une méthode de travail qui eut lieu dans les bureaux d'avex entre 2000 et 2003 : Ayu faisait des "tututu lalala" que dix techniciens étaient chargés de retranscrire en termes musicaux, et elle était créditée à la composition d'une chanson.
Dixième anniversaire : Premier grand non-évènement de l'année au Japon. A vrai dire, tout le monde s'en fiche.
H/L : Personnification de la ringardise musicale absolue.
Surdité de l'oreille gauche : Affection physique sur laquelle le besoin de communiquer est impérieux à la sortie d'un album, mais dont le caractère tragique a tendance à se résorber de lui-même après quelques temps, sans doute comme l'affection en elle-même.