YUI ne va pas mieux !
Oh mon dieu, sauvons YUI, ça devient urgent. Moi qui pensais à injuste titre que l'attitude blasée de YUI n'était qu'une petite combine des marketeux sonyesques afin de lui forger un personnage tellement peu passionnant et si vague qu'il ne pourrait que plaire au public japonais, je dois admettre que je me suis trompé. En réalité, YUI est très naturellement chiante, voilà qui devrait faire plaisir à ses fans. Malheureusement pour elle, c'est sous le coup d'une terrible dépression qu'elle est tombée depuis le début de la carrière, et malgré les grands moyens sortis par Sony, rien ne semble pouvoir lui rendre goût à la vie.
Derrière un titre d'une audace démesurée se cache le prochain single de l'inutile mijaurée de la sonytude incarnée. Deux ambiances d'une beauté époustouflante, et pourtant totalement différentes l'une de l'autre. Des grands espaces qui donnent envie d'émigrer dans le Cantal pour la version bleue, atmosphère montagnarde (alors que YUI abanadonne ses chemises à carreaux, elle est pleine de surprise) et regard de YUI tourné vers le ciel, en signe de quête de transcendance. Un environnement dans lequel l'air torride le dispute à l'attitude végétale d'une YUI qui se meut peu à peu en branchage pour la version orange. Mais surtout, dans les deux cas, des effets pyrotechniques à vous griller les sourcils, avec une mention spéciale pour l'orange, sur laquelle, réaliste, YUI donne elle-même la note qui conviendrait à cette brandade de morue : un joli 0 pointé (oui, elle le pointe). Telle le messie, YUI, qui semble mesurer 1m80 au moins, mais c'est le maquillage naturel ça, nous inonde de spiritualité et marche sur l'eau (enfin peut-être, je ne vois pas trop), de laquelle est tirée un feu d'artifice époustouflant de sublime.
Mais malgré ces paysages bu-coliques et ce miracle, YUI, déguisée en paysanne estivale, tire encore une gueule d'enterrement. Pourquoi diable est-ce donc ainsi ? Sommes-nous condamnés à souffrir encore et toujours ? En tous cas, malgré son intense souffrance psychique, YUI nous donne une magnifique leçon de vie en laissant ouvert le robinet à soupe. On ne peut qu'admirer l'abnégation qui la pousse à continuer cette riche carrière en dépit de la douleur morale qui la ronge, après avoir chanté environ 2 chansons et demi différentes en trois albums, ce qui est un record que même les artistes de Giza ne sont pas encore parvenus à égaler...
Derrière un titre d'une audace démesurée se cache le prochain single de l'inutile mijaurée de la sonytude incarnée. Deux ambiances d'une beauté époustouflante, et pourtant totalement différentes l'une de l'autre. Des grands espaces qui donnent envie d'émigrer dans le Cantal pour la version bleue, atmosphère montagnarde (alors que YUI abanadonne ses chemises à carreaux, elle est pleine de surprise) et regard de YUI tourné vers le ciel, en signe de quête de transcendance. Un environnement dans lequel l'air torride le dispute à l'attitude végétale d'une YUI qui se meut peu à peu en branchage pour la version orange. Mais surtout, dans les deux cas, des effets pyrotechniques à vous griller les sourcils, avec une mention spéciale pour l'orange, sur laquelle, réaliste, YUI donne elle-même la note qui conviendrait à cette brandade de morue : un joli 0 pointé (oui, elle le pointe). Telle le messie, YUI, qui semble mesurer 1m80 au moins, mais c'est le maquillage naturel ça, nous inonde de spiritualité et marche sur l'eau (enfin peut-être, je ne vois pas trop), de laquelle est tirée un feu d'artifice époustouflant de sublime.
Mais malgré ces paysages bu-coliques et ce miracle, YUI, déguisée en paysanne estivale, tire encore une gueule d'enterrement. Pourquoi diable est-ce donc ainsi ? Sommes-nous condamnés à souffrir encore et toujours ? En tous cas, malgré son intense souffrance psychique, YUI nous donne une magnifique leçon de vie en laissant ouvert le robinet à soupe. On ne peut qu'admirer l'abnégation qui la pousse à continuer cette riche carrière en dépit de la douleur morale qui la ronge, après avoir chanté environ 2 chansons et demi différentes en trois albums, ce qui est un record que même les artistes de Giza ne sont pas encore parvenus à égaler...