JYONGRI pour la prévention de l'ostéoporose
Aujourd'hui, je suis allé à la fac pour rendre des livres que j'avais empruntés afin de faire un exposé. J'ai donc pris la ligne 9 direction Mairie de Montreuil jusqu'à Havre-Caumartin, puis le RER A ... ah oui, pardon, j'allais vous parler de JYONGRI, qui est un sujet dont facilement je m'égare (et pas seulement de Lyon).
Oui, donc je disais, j'essaye de fumer un peu moins. Ah non, JYONGRI, voilà. Vous savez, la chanteuse qu'EMI Japan avait tenté de nous vendre comme la nouvelle Hikaru Utada, la moustache et le talent en moins, ce dont ils se sont rapidement rendus compte, compte qui n'ont pas été particulièrement renfloués par la soupe tiède de JYONGLIT (de camp).
Or, il s'avère donc que cette insignifiante va bientôt sortir un deuxième album, et là, eh bien figurez vous que j'ai bien envie de crier : "Je n'ai plus de coca". Et pourtant, c'est de produits laitiers que je vais parler.
Parce qu'au-delà de toutes considérations musicales qui n'intéressent plus personne, preuve en est du succès de Christophe Maé, JYONGRI a les cheesiest titres de chanson ever (je suis bilingue, ce n'est pas très pratique pour le french kiss, j'ai tendance à m'emmêler les pinceaux).
Son premier album s'intitulait Proche du Fantasme. Genre : "Oui, effectivement, je suis fétichiste des chaussures, donc avec ces bottes Aigle, tu es assez proche du fantasme". Le public en est resté loin. Alors, afin de gommer l'image déplorable pour les Japonais qu'était la moue arrogante de JONGLER au tout début de sa carrière, le fin du fin des fins marketeux d'EMI fut de la transformer en chanteuse romantico-cassoulet, distillant suavement cette tendresse des jeunes filles en fleur d'acné qui vivent leur premier amour, double sodomie comprise.
Son second album s'intitulera donc Love Forever, c'est si beau que je reprendrais bien un balisto, si j'en avais. Mais ce n'est pas tout, car sur ce disque qui s'annonce déjà comme un chef d'oeuvre de la post-culture japonaise, vous retrouverez avec extase des titres au nom évocateur de Tender Touch, Kissing Me, Unchanging Love, Lullaby for You (alors là c'est un mystère, puisque pour moi, toutes ses chansons sont somnifères), You're the One ou Still in Love. Cheesy, isn't it ?
JYONGLAIDE est donc une spécialité fromagère à base de sébum, un emmental avec plus de trou que de matière, une Vache-qui-Pleure, un morceau de roquefaible et une fourme d'ennui. Tout ça à la fois, c'est pas mal, y'a de quoi être fière.
Oui, donc je disais, j'essaye de fumer un peu moins. Ah non, JYONGRI, voilà. Vous savez, la chanteuse qu'EMI Japan avait tenté de nous vendre comme la nouvelle Hikaru Utada, la moustache et le talent en moins, ce dont ils se sont rapidement rendus compte, compte qui n'ont pas été particulièrement renfloués par la soupe tiède de JYONGLIT (de camp).
Or, il s'avère donc que cette insignifiante va bientôt sortir un deuxième album, et là, eh bien figurez vous que j'ai bien envie de crier : "Je n'ai plus de coca". Et pourtant, c'est de produits laitiers que je vais parler.
Parce qu'au-delà de toutes considérations musicales qui n'intéressent plus personne, preuve en est du succès de Christophe Maé, JYONGRI a les cheesiest titres de chanson ever (je suis bilingue, ce n'est pas très pratique pour le french kiss, j'ai tendance à m'emmêler les pinceaux).
Son premier album s'intitulait Proche du Fantasme. Genre : "Oui, effectivement, je suis fétichiste des chaussures, donc avec ces bottes Aigle, tu es assez proche du fantasme". Le public en est resté loin. Alors, afin de gommer l'image déplorable pour les Japonais qu'était la moue arrogante de JONGLER au tout début de sa carrière, le fin du fin des fins marketeux d'EMI fut de la transformer en chanteuse romantico-cassoulet, distillant suavement cette tendresse des jeunes filles en fleur d'acné qui vivent leur premier amour, double sodomie comprise.
Son second album s'intitulera donc Love Forever, c'est si beau que je reprendrais bien un balisto, si j'en avais. Mais ce n'est pas tout, car sur ce disque qui s'annonce déjà comme un chef d'oeuvre de la post-culture japonaise, vous retrouverez avec extase des titres au nom évocateur de Tender Touch, Kissing Me, Unchanging Love, Lullaby for You (alors là c'est un mystère, puisque pour moi, toutes ses chansons sont somnifères), You're the One ou Still in Love. Cheesy, isn't it ?
JYONGLAIDE est donc une spécialité fromagère à base de sébum, un emmental avec plus de trou que de matière, une Vache-qui-Pleure, un morceau de roquefaible et une fourme d'ennui. Tout ça à la fois, c'est pas mal, y'a de quoi être fière.