Quelques "artistes" que je n'aime pas
Etant en période de révisions intensives, j'ai besoin d'une petite soupape haineuse afin de déverser mon fiel sur quelques artistes tout à fait minables, ainsi que je me propose de vous le démontrer (ou pas).
AAA : A-t-on déjà vu une plus grande concentration de losers, hormi chez Rhythm Zone ? Les AAA ne parviennent pas à rassembler plus qu'un maigre succès en dépit du soutien d'avex et d'une musique tout ce qu'il y a de plus conçue pour plaire au plus grands nombre. Ils sont en fait une magnifique plaidoirie en faveur du "back" de "backdancers". Les backdancers sont faits pour rester à l'arrière, en fond de scène, voire dans certains cas, dans les coulisses, et pas pour venir sur le devant de la scène, particulièrement quand leur charisme est à la hauteur de leurs piètres capacités vocales.
Hitomi Shimatani : Hitomi Shimatani est aux grandes stars de la pop japonaises ce que Danii Minogue serait à sa soeur : un sous-produit, dans lequel seuls les fans aveuglés parviendraient à déceler une quelconque originalité, voire dans des circonstances extrêmes, du talent. Hitomi a pourtant une jolie voix, un joli visage, mais une planche de bois aurait plus de charisme qu'elle. Sans parler de ses chansons, qui ne sont que des resucées des grands poncifs d'avex.
L'Arc~en~Ciel : J'en parle souvent ici, mais il faut bien reconnaître qu'ils provoquent chez moi la plus grande circonspection, doublée d'un dégoût assez palpable à l'écoute de la voix abominable de HYDE. Ce groupe de midinettes aux fans charcutiformes mouillant devant un nain sans talent, du rock ? Du générique de Gundam rien de plus, une soupe vieillotte qui n'a guère évolué depuis le début des années 90, qui sonne moins rock que les morceaux "rock" d'Ayu. La parfaite démonstration qu'il ne suffit pas d'une guitare, d'une batterie et d'une basse pour faire du rock, mais que le genre se définit avant tout par son esprit.
YUI : YUI, c'est un peu ma mascotte. Ou alors, ma boule anti-stress. Une pimbêche sans grand talent, sinon celui de se conformer aux attentes de sa maison de disque, en particulier en matière d'image. Dans un pays encore profondément machiste, cette jeune fille simple et soumise, qui n'aura au moins pas la bêtise de nous donner un cours sur le liquide amniotique, ne peut que disposer d'un immense capital sympathie, parce qu'au moins, elle ne l'ouvre que pour chanter. YUI ne fait pas peur puisqu'elle n'a pas de personnalité, la parfaite petite amie, comme l'ont élue les hommes japonais, dont la plus grande peur serait de voir leur femme se libérer et risquer, par exemple, de ne pas arrêter sa carrière pour élever ses gosses. Elle minaude donc ses morceaux pop-rock arrangés à la truelle par des employés de Sony soucieux d'employer les recettes qui ont déjà fait leurs preuves. Son mérite : être auteure-compositrice. Mérite limité par le fait que ses morceaux ne sont rien d'autre que des déclinaisons interchangeables avec les titres des autres artistes du genre de la maison de disque.
AAA : A-t-on déjà vu une plus grande concentration de losers, hormi chez Rhythm Zone ? Les AAA ne parviennent pas à rassembler plus qu'un maigre succès en dépit du soutien d'avex et d'une musique tout ce qu'il y a de plus conçue pour plaire au plus grands nombre. Ils sont en fait une magnifique plaidoirie en faveur du "back" de "backdancers". Les backdancers sont faits pour rester à l'arrière, en fond de scène, voire dans certains cas, dans les coulisses, et pas pour venir sur le devant de la scène, particulièrement quand leur charisme est à la hauteur de leurs piètres capacités vocales.
Hitomi Shimatani : Hitomi Shimatani est aux grandes stars de la pop japonaises ce que Danii Minogue serait à sa soeur : un sous-produit, dans lequel seuls les fans aveuglés parviendraient à déceler une quelconque originalité, voire dans des circonstances extrêmes, du talent. Hitomi a pourtant une jolie voix, un joli visage, mais une planche de bois aurait plus de charisme qu'elle. Sans parler de ses chansons, qui ne sont que des resucées des grands poncifs d'avex.
L'Arc~en~Ciel : J'en parle souvent ici, mais il faut bien reconnaître qu'ils provoquent chez moi la plus grande circonspection, doublée d'un dégoût assez palpable à l'écoute de la voix abominable de HYDE. Ce groupe de midinettes aux fans charcutiformes mouillant devant un nain sans talent, du rock ? Du générique de Gundam rien de plus, une soupe vieillotte qui n'a guère évolué depuis le début des années 90, qui sonne moins rock que les morceaux "rock" d'Ayu. La parfaite démonstration qu'il ne suffit pas d'une guitare, d'une batterie et d'une basse pour faire du rock, mais que le genre se définit avant tout par son esprit.
YUI : YUI, c'est un peu ma mascotte. Ou alors, ma boule anti-stress. Une pimbêche sans grand talent, sinon celui de se conformer aux attentes de sa maison de disque, en particulier en matière d'image. Dans un pays encore profondément machiste, cette jeune fille simple et soumise, qui n'aura au moins pas la bêtise de nous donner un cours sur le liquide amniotique, ne peut que disposer d'un immense capital sympathie, parce qu'au moins, elle ne l'ouvre que pour chanter. YUI ne fait pas peur puisqu'elle n'a pas de personnalité, la parfaite petite amie, comme l'ont élue les hommes japonais, dont la plus grande peur serait de voir leur femme se libérer et risquer, par exemple, de ne pas arrêter sa carrière pour élever ses gosses. Elle minaude donc ses morceaux pop-rock arrangés à la truelle par des employés de Sony soucieux d'employer les recettes qui ont déjà fait leurs preuves. Son mérite : être auteure-compositrice. Mérite limité par le fait que ses morceaux ne sont rien d'autre que des déclinaisons interchangeables avec les titres des autres artistes du genre de la maison de disque.