L'offensive des Hitomis
Les nouvelles plus ou moins excitantes n'en finissent plus de nous provoquer des giclées de bonheur ou de dépit en cette période si passionnante de la jpop où la piètre maîtrise de l'Anglais des fans français (ils ne parlent déjà pas vraiment Français ...) envahit les forums internationaux de "I'm agree with you". Mais y a-t-il vraiment de quoi être d'accord avec qui que ce soit en ces temps troublés ?
Eh bien presque, puisque nous serons tous ravis de constater l'offensive conjointe des deux Hitomi de chez avex, qui malgré l'infinie tartitude de leur prénom, sont prêtes à tout pour sortir de leur anonymat dans lequel le fait d'être has been les a plongées.
Commençons par la plus intéressante des deux, l'hitomi en minuscules en dépit d'interminables jambes se prêtant délicieusement bien à la contreplongée, toute en genoux et en vagins, hitomi le miracle moderne du maquillage et du style (vous avez vu qa gueule au début de sa carrière), hitomi et ses fossettes, hitomi et sa voix bizarre et grinçante, hitomi et sa personnalité bandante. Eh bien en fait, il n'y a pas grand chose à dire à propos d'elle, sinon qu'elle a décidé que désormais son prénom s'écrirait en katakana. D'où l'interrogation suivante : va-t-il falloir le romaniser en majuscule ?
La seconde, Hitomi Shimatani, n'a rien de moins intéressant qu'elle, sinon ses fans. Cependant, la tournure que semble prendre sa "carrière" est tout à fait surprenante, montrant l'infinie ingéniosité des marketeux d'avex : puisqu'elle n'intéresse personne, envoyons-la à la (maison de) retraite. D'où modification stylistique du plus haut intérêt : la sublime (haha la blague, son physique a moins de personnalité que sa musique) Hitomi se voit imposer un changement de cibles, visant désormais les grands-mères japonaises au liquide amniotique pourri, après avoir essayé de séduire le grand public des adolescentes avec une pop insipide et passe-partout. Et pour séduire ce public mouillant devant l'effrayant Kiyoshi Hikawa, rien de tel qu'une nouvelle garde-robe issue du déstockage du catalogue printemps-été (1942) d'Afibel, tout cela étant d'une modernité troublante. En témoignent les covers juvéniles de son prochain single (celles de l'album sont du même tonneau de liqueur), qui devrait glorieusement se vendre à un fabuleux montant de 13 exemplaires, famille comprise.
Eh bien presque, puisque nous serons tous ravis de constater l'offensive conjointe des deux Hitomi de chez avex, qui malgré l'infinie tartitude de leur prénom, sont prêtes à tout pour sortir de leur anonymat dans lequel le fait d'être has been les a plongées.
Commençons par la plus intéressante des deux, l'hitomi en minuscules en dépit d'interminables jambes se prêtant délicieusement bien à la contreplongée, toute en genoux et en vagins, hitomi le miracle moderne du maquillage et du style (vous avez vu qa gueule au début de sa carrière), hitomi et ses fossettes, hitomi et sa voix bizarre et grinçante, hitomi et sa personnalité bandante. Eh bien en fait, il n'y a pas grand chose à dire à propos d'elle, sinon qu'elle a décidé que désormais son prénom s'écrirait en katakana. D'où l'interrogation suivante : va-t-il falloir le romaniser en majuscule ?
La seconde, Hitomi Shimatani, n'a rien de moins intéressant qu'elle, sinon ses fans. Cependant, la tournure que semble prendre sa "carrière" est tout à fait surprenante, montrant l'infinie ingéniosité des marketeux d'avex : puisqu'elle n'intéresse personne, envoyons-la à la (maison de) retraite. D'où modification stylistique du plus haut intérêt : la sublime (haha la blague, son physique a moins de personnalité que sa musique) Hitomi se voit imposer un changement de cibles, visant désormais les grands-mères japonaises au liquide amniotique pourri, après avoir essayé de séduire le grand public des adolescentes avec une pop insipide et passe-partout. Et pour séduire ce public mouillant devant l'effrayant Kiyoshi Hikawa, rien de tel qu'une nouvelle garde-robe issue du déstockage du catalogue printemps-été (1942) d'Afibel, tout cela étant d'une modernité troublante. En témoignent les covers juvéniles de son prochain single (celles de l'album sont du même tonneau de liqueur), qui devrait glorieusement se vendre à un fabuleux montant de 13 exemplaires, famille comprise.