Oricon : mon commentaire
Avant toute chose, je confesse que cette idée, je l'ai piquée de ce blog gargantuesquement excellent, qui ne l'a certainement pas inventée de toute façons puisque la dernière idée originale de l'histoire date de l'année 1992, année lors de laquelle la plus grande popstar (à l'époque, maintenant il y a David Guetta et Christophe Maé, et peut-être miyavi), c'est-à-dire Madonna, publiait un livre dans lequel elle annulinguait Tony Ward, se faisait lécher les tétons par Isabella Rossellini, suçait l'orteil de Naomi Campbell et nous faisait voir des paires de seins et des bites à ne plus savoir qu'en faire (que ceux qui pensent que Kumi Koda est provocante retournent dans leur campagne).
Je vais donc vous livrer mon petit commentaire personnel sur les meilleures ventes de singles au Japon cette semaine.
01- GLAY - VERB : A peine plus crédibles en papys rockeurs que L'Arc~en~Ciel, HYDE en moins, ce qui n'est pas un mal, TERU en plus, ce qui n'est pas un bien.
02- Kumi Koda - MOON : Voilà enfin Cul-chan disposée à nous montrer sa lune. Au passage, elle nous montre aussi celle de Fergie (bien qu'elle n'en ait pas, uniquement la cicatrice conséquente à sa pénectomie) couine des gluantises et tente un recyclage par une reggagirl déformée (pardon pour le pléonasme).
03- UVERworld - Gekidou/Just break the limit! : Alors là du magnifique sony puant comme c'est pas permis en Estonie méridionale, du plus pur générique d'anime sans intérêt, qui ne dépasse pas en qualité musicale un autre générique, français, cette fois-ci : "Moi à mon bisounours, je lui fais des bisous". Les bisounours sont toutefois plus crédibles artistiquement.
04- T.M.Revolution - resonance : La seule révolution qu'a provoquée ce tâcheron, c'est réussir à faire appeler "rock" par des truies sans culture une dance démodée.
05- GReeeeN - Kiseki : Une autre avalanche de gros, grands, bons, vomitifs sentiments à la Japonaise. La révélation de l'année dernière dans la catégorie "Arnaque" nous livre avec ce titre une redite tragique de leur daube de l'année dernière, AiUta.
...
07- Dohzi-T - Mou Ichidou ... feat. BENI : Oui, vous avez bien lu, une des plus nulles chanteuses pop-RnB-tartiflette, qui n'a eu la grâce de l'oricon que le temps d'un single et demi en quatre ans revient en pleine lumière. La mal nommée Beni Arashiro (les fées qui s'étaient penchées sur son berceau étaient en état assez préocuppant d'alcoolisation le jour de sa naissance) profite d'un plagiat assez éhonté (mais le terme même de plagiat n'a pas cours dans le top 10 de l'oricon, puisque de toutes façons en plus de 40 ans d'existence, ce classement n'a pas consacré plus de trois singles originaux) de l'oeuvre de SoulJa, qui refait les MJC de Belgique depuis (ça existe encore en Belgique les MJC, nan ?), et de la très chevaline et défaillante esthétiquement Thelma Aoyama, Koko ni Iru yo. Beni repartira comme elle est venue vers ses projets fantastiques, pour suivre la route ouverte par le succès de son best-of sorti il y a peu et classé 166eme à l'Oricon, ou continuer à piquer tout ce que la garde-robe de Namie Amuro comporte de tragique.
...
19- Anna Tsuchiya - Crazy World feat. AI : Ouhlalalala, Anna Tsuchiya a voulu être provocante, elle a finalement été égale à elle-même : grossière et antisexy à souhait. Il faut dire que l'objet du désir était la très ballonée facialement AI, ce qui n'aide pas. Cela n'empêchera pas le prochain numéro du très prestigieux et bien nommé Rock Mag (qui consacre une une sur deux à Tokio Hotel) de dire qu'elle est talentueuse et populaire, ce qui fera plaisir à ses fans skybloggeurs.
Je vais donc vous livrer mon petit commentaire personnel sur les meilleures ventes de singles au Japon cette semaine.
01- GLAY - VERB : A peine plus crédibles en papys rockeurs que L'Arc~en~Ciel, HYDE en moins, ce qui n'est pas un mal, TERU en plus, ce qui n'est pas un bien.
02- Kumi Koda - MOON : Voilà enfin Cul-chan disposée à nous montrer sa lune. Au passage, elle nous montre aussi celle de Fergie (bien qu'elle n'en ait pas, uniquement la cicatrice conséquente à sa pénectomie) couine des gluantises et tente un recyclage par une reggagirl déformée (pardon pour le pléonasme).
03- UVERworld - Gekidou/Just break the limit! : Alors là du magnifique sony puant comme c'est pas permis en Estonie méridionale, du plus pur générique d'anime sans intérêt, qui ne dépasse pas en qualité musicale un autre générique, français, cette fois-ci : "Moi à mon bisounours, je lui fais des bisous". Les bisounours sont toutefois plus crédibles artistiquement.
04- T.M.Revolution - resonance : La seule révolution qu'a provoquée ce tâcheron, c'est réussir à faire appeler "rock" par des truies sans culture une dance démodée.
05- GReeeeN - Kiseki : Une autre avalanche de gros, grands, bons, vomitifs sentiments à la Japonaise. La révélation de l'année dernière dans la catégorie "Arnaque" nous livre avec ce titre une redite tragique de leur daube de l'année dernière, AiUta.
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07- Dohzi-T - Mou Ichidou ... feat. BENI : Oui, vous avez bien lu, une des plus nulles chanteuses pop-RnB-tartiflette, qui n'a eu la grâce de l'oricon que le temps d'un single et demi en quatre ans revient en pleine lumière. La mal nommée Beni Arashiro (les fées qui s'étaient penchées sur son berceau étaient en état assez préocuppant d'alcoolisation le jour de sa naissance) profite d'un plagiat assez éhonté (mais le terme même de plagiat n'a pas cours dans le top 10 de l'oricon, puisque de toutes façons en plus de 40 ans d'existence, ce classement n'a pas consacré plus de trois singles originaux) de l'oeuvre de SoulJa, qui refait les MJC de Belgique depuis (ça existe encore en Belgique les MJC, nan ?), et de la très chevaline et défaillante esthétiquement Thelma Aoyama, Koko ni Iru yo. Beni repartira comme elle est venue vers ses projets fantastiques, pour suivre la route ouverte par le succès de son best-of sorti il y a peu et classé 166eme à l'Oricon, ou continuer à piquer tout ce que la garde-robe de Namie Amuro comporte de tragique.
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19- Anna Tsuchiya - Crazy World feat. AI : Ouhlalalala, Anna Tsuchiya a voulu être provocante, elle a finalement été égale à elle-même : grossière et antisexy à souhait. Il faut dire que l'objet du désir était la très ballonée facialement AI, ce qui n'aide pas. Cela n'empêchera pas le prochain numéro du très prestigieux et bien nommé Rock Mag (qui consacre une une sur deux à Tokio Hotel) de dire qu'elle est talentueuse et populaire, ce qui fera plaisir à ses fans skybloggeurs.