Article Expiré

Publié le par Ananda

Vous savez, je n'ai pas tout le temps de l'inspiration. J'ai aussi le droit de faire des articles creux , voire de mettre des vidéos avec un léger commentaire pour faire croire qu'il s'agit en fait d'un nouveau post, alors que ce n'est rien d'autre qu'un lien vers youtube déguisé. Aujourd'hui, passons les sorties du mois de mars, en revue (Note : Cette introduction est tellement concise et claire qu'on dirait bien que ce n'est pas moi qui l'ai écrite. On va dire que c'était mon double maléfique, celui contre lequel je mène un déchirant combat démontrant avec pompe, grandiloquence et néanmoins une implacable émotion la dualité de la psyché humaine, sans cesse partagée entre ses pulsions de vie et de mort, de création et de destruction, de fromage et de dessert. Evidemment, même si l'on dit ça, ça ne masquera pas le fait qu'aujourd'hui je manque simplement de verve, et que cet article est plus expiré qu'inspiré, présumablement par l'anus).

On commence avec une déclaration de guerre de Mika Kakashima en direction d'Ayumi Hamasaki, puisque la chimiothérapisée de la jpop, rageuse, lance vers la seconde, endormie -comme toujours- les yeux ouverts dans le pâté de singe-mayonnaise qu'elle vient de vomir, lance un No More Rules qui ne pourra pas ne pas rappeler la petite merveille de rock violent et de guitares déchaînées (littéralement ?) qu'est Rule (je dois dire que je ne l'ai même pas écoutée, mais je suis persuadé que ma description correspond tout à fait). Ensuite, alan nous apprendra que la voix de la terre est en fait un couinement provenant d'un poulpe surmaquillé avec Voice of Earth. Ken donnera à Barbie des cours de godage avec Deeper (oh mais il s'agit de Ken de L'Arc~en~Ciel, rock à midinettes en vue, take cover). Les DOPING PANDA, de grands amateurs des Japanistas, leur livrent un hommage vribrant dans beat addiction (un de mes jeux de mots les plus faciles, alors pourquoi en suis-je aussi fier ?), alors que Yuna Ito ne pouvant plus faire confiance au public japonais pour acheter ses disques, reporte sa confiance sur toi (mais qui est ce toi ? Hixi ? somasu ? Epikt ?) avec un trust you probablement d'un ennui ennuyeux. Pour ceux qui aiment rire, MUNEHIRO sortira un single intitulé Neo sur lequel je n'ai rien à dire. C'est d'ailleurs le moment de l'intermède MUNEHIRO avec la somptueuse Utage, bientôt reprise par Emiko Shiratori d'ailleurs :



Ah, ça fait du bien. Dans la catégorie "Titre le plus generic EVER", saluons les Dragon Ash, qui vont OSER sortir un Freedom sans même en avoir honte mais qui auront beaucoup de compétition ce mois-ci, avec notamment le Heart de the generous (sérieusement). Anna Tsuchiya blablablabla (en gros, ce sera de la merde) (c'est le point où j'espère que vous n'êtes pas aussi lassés de lire cet article que je le suis de l'écrire, je vais essayer de m'accrocher pour pas le finir en plein milieu d'une phrase et le valider le majeur levé en direction du monde, I can do it, I'm just THAT cool). Aux Berryz Kobo qui vont caqueter Dakishimete Dakishimete, je réponds "allez vous faire foutre, allez vous faire foutre" puisque je serai trop occupé à chérir les délicats arômes du nouvel album d'Antic Cafe, intitulé Aroma (une éloge d'un groupe de merde et un jeu de mot consternant reposant uniquement sur la traduction du titre, c'était ma minute JaME). Pour pimenter un peu les choses, on pourra se tourner vers Nana Kitade, qui nous propose du Bondage. Oh oui, du bondage avec Nana. Et des barbelés. Et des gothic lolitas éplorées. Mes rêves érotiques prennent vie. En attendant, EMI va rééditer tout un tas d'albums (dont ceux de Chihiro Onitsuka du temps où elle était célèbre par exemple) au format SHM-CD, format mystérieux dont on est obligé de supposer qu'il est l'abréviation des CD "Suck Her Mamelles" (ça paraît presque évident) (à propos, ayant un doute sur l'orthographe de "mamelles", je l'ai rentré dans google (le mot), et j'ai eu des résultats sympas, dont "Grosses mamelles qui rient sur la plage", qui va probablement me donner des cauchemars), selon la célèbre technique de Toshiba-EMI reprise par EMI Japan. Akiko Shikata continuera à faire croire à Van qu'elle a du talent alors qu'elle n'en a pas le moindre, ni mélodique, ni arrangemental, ni vocal et n'est qu'une caricature de Japonaise too much incapable de digérer les influences musicales qui lui arrivent. Avec deux titres aussi ennuyeux que Wild et Dr., on aurait pu croire que Namie Amuro allait nous endormir une fois de plus, mais il suffit d'accoler les deux mots pour que tout un monde de touchers rectaux et de stimulations prostatiques s'ouvrent à nous, d'où, par commodité, nous excluerons Namie.

Nous finirons ça plus tard, c'est fatiguant. Signalons toutefois qu'au rayon des blagues, nous avons Sowelu qui sortira un best-of, alors qu'elle n'a rien à y mettre, et enfin, vous pouvez d'ores et déjà faire chauffer l'huile bouillante pour les moutonnesques abrutis sans talent qui se précipiteront pour sortir leur sakura-sotsugyou-moule-frite song (SCANDAL, Kusuo, AKB48 ...).

Publié dans Décryptage

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V
je t'aime mon coeur...
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Q
Bah, Sowelu est pas plus une blague que 90% des artistes pseudo-urban pop rnb polka japonais hein... Donc oui en fait c'est une blague, mais replacée dans le contexte nan, pas tellement.<br /> <br /> Euh ouais sinon elle a 3 chansons cool sur son best of quoi. Han j'adore Utage x__x
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S
Tu sais,c'est très mal de critiquer Munehiro et Dragon Ash dans le même article...
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F
Sowelu a elle seule est une blague :s<br /> <br /> Même quand t'as pas d'inspi, t'écris de bon articles (voire meilleurs que lorsque t'en as). Schöne!
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