Con comme un fan de KOKIA

Publié le par Ananda

Amis de la powésie sans vibratos ni VOICE, bonjour. Puisqu'en ce moment je suis bien trop occupé à m'occuper personnellement de mon avenir, plutôt que d'écrire un long et pénible article, je vous ai rapidement concocté un petit poème (ou une chanson populaire). Que les amateurs d'arts prennent leur pied et roulez jeunesse !

Con comme un fan de KOKIA


Entendez là une douce complainte
Celle d'un idiot sans grande contrainte
Qui plus encore qu'il en débat
Tient à le dire : n'aime pas KOKIA

Jour de Noël, nuit irlandaise,
Faussement lyrique, musique niaise
Echos et cris, cris et échos
Quoiqu'il en fut, long vibrato

Face le miroir, les dents surgissent
Hors de la bouche, longues elles s'immiscent
Point d'ambition, Certainement pas
Juste des dents, celles de KOKIA

Carré vétuste, rideaux cousus,
Frippes indignes, style révolu
Encore qu'une fois j'ai bien aimé
Je regardais les yeux fermés !

Déshabille-toi, Wasabi doit
Prendre finances, et reste coi,
Dépouillé, bête, et bienheureux
Y'en a-t'il un qui soit sérieux ?

Croisière s'amuse, point de Patache
(Restée à quai avec une bâche)
Plutôt le Zouave ; comme Titanic
Faites qu'il coulât, coulât à pic

Croc à phynances, chandelle verte
A la Jarry, couplet de merdre
Rien à faire là, me direz-vous
Par ma gidouille, donc tudez-vous !

Mais revenons à nos moutons
Ceux de KOKIA, nous l'entendons
Déficients soit, artistiques même !
Ah! quelle tristesse : "KOKIA ON T'AIME !"

Certes son écho se fait entendre
Loin en Navarre, et dans les Flandres
Le volume est décervelant
Plus fort on chante, plus on est grand ?

Ecoute-donc ta VOICE divine
KOKIA niaiseuse, dents de lapine
Satisfais t'en tant que tu peux
Car pour ma part, c'est là bien peu

Joyeuses victimes, handicapées
De leur monnaie, de leur santé
Mentale, entends-je, encore qu'en haut
Dans les oneilles, ils souffrent beau !

Bien pathétiques, autant qu'ils sont
Bien qu'un ou deux sachent la chanson
Que font-ils là, tant peu l'aiment-ils ?
Par habitude sont bien fébriles ...

Fussent-ils poulets, qu'elle les plumât
Fussent-ils gigots, qu'elle les mangeât
Fut-elle artiste, je l'aimerais
Mais point final, m'en garderai.

J'ajouterai là un post-scriptum
Cette poésie, fort belle en somme
Sur une maxime aboutira
"Con comme un fan, fan de KOKIA".

Publié dans Rien à foutre

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Z
Quel talent !!!!, Qu'est ce que tu fous faut l'adapter au marché asiatique, t'as pensé à la faire chanté par Kokia elle même ?, Elle en serait plus que ravie mdrrr...
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Q
Moi aussi, tout simplement.
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Q
oh grand dieu! j'ai adoré adoré adoré
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N
Ok, merci pour la précision et tout cet étalage de culture !
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L
Mon héros ! *_*
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